« Le rythme de tes vers, leur martèlement, leurs cadences, sont partie intégrante de ces « vérités morales » que tu énonces. » Gérard Mottet, courriel, 23 avril 2024
« La poésie de Pierre Perrin, qui nous donne à penser, à aimer et à partager, est un don de son âme, le don d’une solitude à une solitude. Acceptons-le tel quel, brut, entier, sans réserve. » Yves Marchand, [6 juin 2024]
Dans la petite étude que je consacre à son recueil de sonnets, je n’ai sans doute pas suffisamment fait mention du suprême degré d’élévation qu’atteignent chez lui de nombreux alexandrins. Oui, vous lisez bien : Pierre Perrin a produit des alexandrins. Et, je puis l’assurer, ils n’ont rien de désuet. Ils sont au contraire bien modernes, même si certains rivalisent en beauté avec les plus réussis de Racine. — Daniel Guénette, Le Livre des visages, 17 juin 2024
Le Soleil des autres, roman, Sinope éditions, 2022
« On ne peut lâcher ce récit de Pierre Perrin sans ressentir une certaine émotion. La verdeur et la description des scènes en plein cœur d’une ruralité âcre et rêche sont magnifiques, tout comme les fulgurances stylistiques. Un roman à mettre entre toutes les mains, pour en saluer la rigueur et la grande beauté. » Laurence Biava, Actualité littéraire
« Il n’est jamais pardonné à celles qui s’en vont vers une vie meilleure de revenir. Toute une description du monde rural. Toute une plongée en terre inconnue pour certains. » La présentation par Jeanne Orient
Des jours de pleine terre, poésie 1969-2022
éditions Al Manar, 170 pages, octobre 2022
« Depuis que j’ai découvert ta voix poétique, je pense qu’elle est essentielle – ton livre dit tellement de choses sur la vie, sur notre vie!) » — André Ughetto, courriel [7 mars] annonçant Les Hautes Terres de P. Perrin, 12 mars 2023.
Un dossier Pierre Perrin, dans Poésie/première, n° 86, octobre 2023. Contributions de Jean Pérol, Gérard Mottet, André Ughetto, Éric Brogniet, etc. La lecture du dossier par Jeanne Orient
« Ce qui unit cette anthologie, outre la forme et sa parfaite maîtrise, c’est avant tout le ton… » Une lecture par Pierrick de Chermont [nouveau, quoique du 03/09/2023]
« Demeure le pur temps incorporé, à l’instar de celui retrouvé de Proust, que l’auteur modèle à sa manière : moins métaphysique, plus allègre, d’une sensualité plein la gorge, plein la langue. » Article de Paloma Hidalgo, revue Esprit, mai 2024.
« Ce beau recueil, sculpté d’une langue inédite totalement accomplie, charrie l’émotion véritable, l’humanisme juste, la pensée en acte et son épanouissement par l’apothéose poétique. Pierre Perrin où, faire de sa vie un grand poème. Et du poète, un ami. » Article de Gwen Garnier-Duguy, in Littérature(s), juillet 2024
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