Quelques livres de Pierre Perrin
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    Parutions pour mémoire [ordre décroissant]


    La Vie crépusculaire
    Prix Kowalski de la ville de Lyon, Cheyne éditeur, 1996

    La Vie crépusculaire« Votre poésie, spécialement votre poésie en prose, me semble rassembler tous les caractères du genre : briéveté, intensité, gratuité. Vous n’y décrivez pas, n’allez pas d’un point à un autre, mais recréez un tableau vivant dans son cadre. Et ces tableaux sont beaux car ils contiennent à la fois de l’éternel et invariable comme du relatif lié à l’époque et aux circonstances. Et puis, il y a le style » écrit Michel Leuba… — Continuer la lecture


    Le Temps gagné
    éditions La Bartavelle, 1988

    couv.livre[…] Perrin s’exprime dans une langue dense, concrète, imagée, irriguée, par les multiples références à son enfance terrienne et à cette campagne natale où, dans son âge d’homme, il est demeuré. Il possède l’art du raccourci, du style tendu, de la métaphore qui fait mouche. Poèmes-cris, proférés d’une voix haletante. « J’écris des cris bondés, lourds comme des ventres de bombardiers… — Continuer la lecture


    Un voyage sédentaire
    Carnets, éditions Possibles, 1986

    Un voyage sédentaireL’amour, c’est le leurre, la douleur. L’espérance façonne une prison dans laquelle le prisonnier se vit amputé de l’autre. La présence, qu’il attend en se retenant de courir ou qu’il vient de perdre et qui le met à genoux, borne son horizon. Tout le tenaille, l’absence l’écartèle, l’angoisse ne cautérise plus… — Continuer la lecture


    Manque à vivre, 1985
    Volume anthologique pour moitié inédit, 256 pages

    Manque à vivre« Fils spirituel d’un Jean Breton et d’un Yves Martin, proche par la sensibilité de poètes et d’écrivains comme Georges Perros, Lucien Becker et plus près de nous Daniel Biga, Pierre Perrin se range – ou plutôt se dérange – dans la file des poètes du « dur métier de vivre », selon l’expression employée par Yves Martin », selon Jean Orizet dans le Le Figaro Magazine du 1er mars 1986… — Continuer la lecture


    Pleine Marge
    le premier recueil, La Presse de Gray, 1972

    Pleine MargeLa couverture enfermait 108 pages sur papier d’un fort grammage, glacé, car les 41 poèmes étaient illustrés de 24 photos noir et blanc, pleine page sauf une, dans un format de 18 cm de largeur par 23,5 de hauteur. L’accueil, en Franche-Comté, fut chaleureux. Jean Breton, à qui un exemplaire avait été remis en aveugle… — Continuer la lecture

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